En 2021, à l’heure des réseaux où tout va très vite, où les publications sont aussi vite likées qu’oubliées, y-a-t-il encore du sens à écrire un blog, une newsletter ou quoi que ce soit qui y ressemble?
Certainement non.
C’est exactement pour cela qu’il faut le faire.
De manière très égoïste, j’ai envie de retrouver le plaisir d’écrire sans contraintes autres que celles que je m’impose. Retrouver la joie. Ces derniers temps, je l’avais un peu perdue de vue: ce plaisir d’appuyer sur la touche “envoyer”, après la énième relecture. Evidemment, il y aura toujours là une faute qui traine, une tournure à améliorer, il parait que je ne me déferai jamais d’une certaine incertitude: écrire est un exercice funambule, et cela me va bien. J’ai le sens de l’équilibre, si pas toujours de la mesure.
Alors, qu’est-ce que je vais bien pouvoir vous raconter ici, et à quel rythme?
Je pense qu’un rendez-vous tous les quinze jours est raisonnable: cela permettra de flâner juste assez pour glaner les bonnes idées, les bons sujets.
Vins, mais aussi sexisme, bonne bouffe et inclusivité , romans et livres militants, sans doute un peu d’actualité et de vie perso: depuis que je traine mes guêtres sur internet (un indice sur mon âge canonique), j’explore ces sujets. Mais il y a encore tant à dire, tant à faire.
Je vous retrouverai bien au chaud dans votre boite mail d’ici une petite quinzaine: on se dit que la première publication “pour de vrai” aura lieu le dimanche 20 juin.
Vingt, ce n’est pas un hasard.
Tchin, et prenez soin de vous.
Sand